Klelia
Prénom de Fille
3
Nombre de filles appelées Klelia cette année.
149
Naissances depuis 1900
5
Son chiffre fétiche
20 février
Le jour de sa fête

Signification du Prénom
Klélia est un prénom d'origine irlandaise qui évoque deux significations principales : « contestation » et « église ». Ces interprétations reflètent une dualité entre force de caractère et spiritualité. En Irlande, ce prénom est souvent associé à une identité culturelle profonde, mêlant tradition religieuse et détermination. Sa fête est célébrée le 20 février, une date qui renforce son ancrage dans les traditions chrétiennes. Une variante notable de ce prénom est Kyla, qui partage certaines sonorités tout en offrant une touche plus moderne.
Personnalité
Les personnes portant le prénom Klélia sont souvent décrites comme généreuses et empathiques, avec une grande capacité à écouter les autres. Leur besoin d'affection est marqué, ce qui les pousse à créer des liens profonds avec leur entourage. Cependant, leur sincérité peut parfois frôler l'intrusion, rendant nécessaire un équilibre entre ouverture et respect des limites. Klélia est une battante qui relève les défis avec détermination, atteignant souvent les objectifs qu'elle se fixe. Enfant, elle apprécie les moments partagés, notamment à travers des jeux de société, et a besoin d'un cadre ferme pour apprendre à gérer son côté indiscret.
Évolution du Nombre de Naissances
Provenance et histoire
Origine
Bien que Klélia soit souvent associé à une origine irlandaise, ses racines linguistiques s'étendent également à des influences grecques et européennes. Cette double origine lui confère une richesse culturelle, mêlant traditions celtes et héritages méditerranéens. Le prénom s'inscrit ainsi dans un contexte plus large, où les échanges entre cultures ont façonné son évolution et sa signification actuelle.
Histoire
Klélia est un prénom relativement moderne, apparu en France au début des années 2000. Depuis 2001, seulement 123 filles ont été prénommées ainsi, ce qui en fait un choix rare et original. L'année 2010 marque son apogée avec 12 naissances, un pic modeste mais significatif pour ce prénom peu répandu. Avant cette date, il était presque inexistant dans l'Hexagone, ce qui lui confère une touche de singularité dans le paysage onomastique français. Son adoption progressive reflète une tendance à rechercher des prénoms distinctifs et porteurs de sens.
