Naig
Prénom de Fille
9
Nombre de filles appelées Naig cette année.
272
Naissances depuis 1900
4
Son chiffre fétiche
26 juillet
Le jour de sa fête

Signification du Prénom
Naïg est un prénom d'origine hébraïque qui signifie « grâce ». Ce prénom évoque une douceur et une élégance naturelles, souvent associées à une présence rassurante et bienveillante. Dans la culture bretonne, où il est particulièrement apprécié, Naïg est perçu comme un prénom porteur de chance et de bénédictions, en lien avec son héritage spirituel.
Personnalité
Les Naïg sont souvent décrites comme des personnes intelligentes, intuitives et dotées d'un jugement rapide et précis. Leur personnalité déterminée et volontaire les pousse à refuser la médiocrité et à rechercher constamment des défis. Bien qu'elles puissent parfois paraître autoritaires ou possessives, elles compensent par un dévouement sans faille et une grande gentillesse. Dynamiques et rigoureuses, elles excellent dans les projets exigeants mais doivent apprendre à lâcher prise pour éviter l'épuisement.
Évolution du Nombre de Naissances
Provenance et histoire
Origine
Le prénom Naïg puise ses origines dans la culture bretonne, où il est considéré comme un diminutif d'Annaïg, lui-même dérivé du prénom hébraïque Anne. Il est profondément ancré dans l'histoire et les traditions de la Bretagne, tout en ayant des liens avec les cultures européennes plus larges grâce à sa racine hébraïque.
Histoire
Naïg est un prénom relativement récent en France, apparu pour la première fois en 1974. Il reste rare, avec seulement 211 porteuses recensées depuis cette date. Sa popularité a connu un pic en 2006, avec 15 naissances, avant de se stabiliser autour d'une dizaine de cas par an. Ce prénom est également lié à la figure de sainte Anne, mère de la Vierge Marie et patronne de la Bretagne, ce qui renforce son ancrage culturel dans cette région.
Étymologie
Naïg trouve ses racines dans l'hébreu ancien, plus précisément dans le mot « hannah », qui signifie « grâce ». Ce terme a traversé les siècles et les cultures pour donner naissance à des variantes comme Anne en français ou Annaïg en breton. La transformation en Naïg illustre l'adaptation linguistique propre à la culture bretonne, tout en conservant le sens originel.
