Job
Prénom de Garçon
6
Nombre de garçons appelés Job cette année.
158
Naissances depuis 1900
9
Son chiffre fétiche
10 mai
Le jour de sa fête

Signification du Prénom
Job est un prénom d'origine hébraïque, dérivé du terme « iyyôb », qui signifie « Dieu a établi ». Ce prénom porte une dimension spirituelle forte, évoquant une relation profonde avec la divinité. Dans la tradition biblique, Job est associé à la patience, à la persévérance et à la justice, ce qui confère à ce prénom une signification riche en valeurs morales et en résilience.
Personnalité
Les personnes portant le prénom Job sont souvent perçues comme des individus dynamiques et passionnés. Ce sont des hommes d'action, dotés d'une intelligence pratique et d'une curiosité insatiable. Optimistes et généreux, ils aiment découvrir et construire, tout en restant sociables et accueillants. Leur sensibilité et leur enthousiasme les rendent parfois rêveurs, mais leur persévérance leur permet de surmonter les défis. En amour, ils savent être doux et affectueux, tout en cherchant constamment l'inspiration.
Évolution du Nombre de Naissances
Provenance et histoire
Origine
Le prénom Job puise son origine dans la tradition hébraïque et biblique. Il est étroitement lié à la culture chrétienne, où il est vénéré comme un symbole de foi et de persévérance. Ses variantes et son importance se retrouvent principalement dans les cultures juives et chrétiennes, où il est souvent associé à des valeurs de patience et de résilience.
Histoire
Job est un prénom ancien, mentionné dans la Bible comme le héros d'un livre qui porte son nom. Ce personnage, symbole de justice et de patience face à l'adversité, a marqué l'histoire religieuse. En France, le prénom Job est apparu dès 1900, mais il est resté peu courant. Il a connu de légères variations de popularité, avec quelques pics comme en 1993 où 7 enfants l'ont reçu. Un saint Job, martyr coréen, est également célébré le 29 mai.
Étymologie
L'étymologie du prénom Job remonte à l'hébreu ancien, où il est issu du terme « iyyôb ». Ce mot, souvent interprété comme « exécré » ou « rejeté », a également été associé à l'idée de « Dieu a établi ». Cette dualité de sens reflète la complexité du personnage biblique, à la fois éprouvé et soutenu par sa foi.
