Kissima
Prénom de Garçon
3
Nombre de garçons appelés Kissima cette année.
83
Naissances depuis 1900
9
Son chiffre fétiche
Garçon
Genre

Signification du Prénom
Le prénom Kissima, bien que rare, évoque une certaine originalité et une profondeur culturelle. Il est souvent associé à des valeurs de protection et de dévouement, bien qu'il ne dispose pas d'une fête dédiée dans le calendrier traditionnel. Les personnes portant ce prénom peuvent être célébrées le 1er novembre, lors de la Toussaint, une fête qui honore tous les saints. Kissima partage des racines avec des variantes comme Kassim, ce qui renforce son ancrage dans des traditions nominales riches et variées.
Personnalité
Les individus portant le prénom Kissima sont souvent perçus comme protecteurs et dévoués, dotés d'une générosité naturelle et d'une grande écoute envers autrui. Leur besoin d'attention peut parfois les rendre indécis, mais leur détermination à relever des défis et à tout donner pour atteindre leurs objectifs est admirable. Enfant, Kissima apprécie particulièrement les moments en famille, où il peut s'épanouir dans un environnement harmonieux. Pour l'aider à grandir, il est essentiel de l'encourager à gagner en autonomie et en confiance en lui, afin de tempérer sa tendance à se laisser influencer.
Évolution du Nombre de Naissances
Provenance et histoire
Origine
Le prénom Kissima trouve ses racines dans la culture africaine, où il est porteur de sens et de traditions profondes. Il s'inscrit dans une lignée de prénoms aux sonorités mélodieuses et aux significations fortes, souvent liés à des valeurs de communauté et de protection.
Histoire
Kissima est un prénom relativement récent en France, avec la première occurrence enregistrée en 1979. Son apogée a été atteint en 2011, année où il a été attribué à 5 garçons. Depuis son apparition, seulement 40 garçons ont porté ce prénom, ce qui en fait un choix original et peu commun. Après une première apparition en 1979 avec 3 naissances, il a connu un léger regain en 1990 avec 4 enfants portant ce prénom.
