Michal
Prénom de Garçon
144
Naissances depuis 1900
1
Son chiffre fétiche
29 septembre
Le jour de sa fête
Garçon
Genre

Signification du Prénom
Le prénom Michal, souvent associé à sa variante Michael, puise ses racines dans une signification profonde et spirituelle : « qui est comme Dieu ». Cette interprétation, riche en symbolisme, évoque une connexion divine ou une aspiration à des qualités supérieures. En Europe de l'Est, notamment en République tchèque et en Slovaquie, ce prénom est perçu comme un hommage à la foi et à la force intérieure.
Personnalité
Michal est souvent décrit comme une personne solitaire et indépendante, cherchant constamment un espace où il peut se ressourcer loin des foules. Bien qu'il puisse parfois manquer de confiance en lui, sa détermination et sa concentration sur ses objectifs personnels sont remarquables. Il n'hésite pas à se lancer des défis pour atteindre ses ambitions, ce qui en fait un individu résilient. Enfant, Michal préfère les activités calmes comme les puzzles, ce qui reflète son besoin de tranquillité et de réflexion.
Évolution du Nombre de Naissances
Provenance et histoire
Origine
Le prénom Michal trouve ses origines dans la tradition hébraïque, avec une forte présence dans les cultures polonaise, tchèque et européenne plus largement. Il est souvent considéré comme une variante plus locale de Michael, partageant ainsi une riche histoire religieuse et culturelle.
Histoire
Michal est un prénom relativement récent en France, où il est apparu en 1991. Depuis, il a été attribué à un nombre modeste de garçons, avec un pic de popularité en 2004, où 12 nouveau-nés l'ont reçu. Comparé à sa variante Michael, Michal reste bien plus rare, avec seulement 16 occurrences entre 2015 et 2020, contre 603 pour Michael. Ce prénom est associé au Bienheureux Michal, une figure spirituelle qui renforce son lien avec la tradition religieuse.
Étymologie
L'étymologie de Michal remonte à l'hébreu, plus précisément à l'expression « mika El », qui se traduit par « qui est comme Dieu ». Cette origine linguistique souligne une dimension sacrée et une quête de ressemblance avec le divin, ce qui explique sa popularité dans les cultures juives et chrétiennes.
