Yanick
Prénom de Garçon
10
Nombre de garçons appelés Yanick cette année.
2,540
Naissances depuis 1900
9
Son chiffre fétiche
24 juin
Le jour de sa fête

Signification du Prénom
Yanick est une variante bretonne du prénom Jean, profondément ancrée dans une signification spirituelle et religieuse. Issu de l'hébreu, il signifie "Dieu est miséricordieux", reflétant ainsi une dimension divine et bienveillante. Ce prénom évoque une connexion avec la foi et la tradition, tout en portant une touche culturelle bretonne qui le rend unique.
Personnalité
Les Yanick sont souvent perçus comme des individus intelligents et dotés d'un esprit indépendant. Leur nature active et volontaire peut parfois épuiser leur entourage, tant leur énergie semble inépuisable. Obstinés et convaincus de détenir la vérité, ils affichent une morale exemplaire, tout en restant sensibles et en quête constante de tendresse. Leur vie familiale peut être perturbée par leur engagement professionnel intense, mais en amour, ils s'investissent avec passion et fidélité.
Évolution du Nombre de Naissances
Provenance et histoire
Origine
Yanick puise son origine dans la culture bretonne, où il est une variante locale du prénom Jean. Son héritage linguistique remonte à l'hébreu, mais c'est en Bretagne qu'il a acquis sa forme distinctive, reflétant ainsi une fusion entre tradition religieuse et identité régionale.
Histoire
Le prénom Yanick s'inscrit dans la longue tradition des variantes de Jean, qui est l'un des prénoms les plus répandus au monde. Avec ses multiples formes et dérivés, Jean est célébré à différentes dates selon les saints patrons associés. Parmi les figures marquantes, on trouve saint Jean l'évangéliste, saint Jean de Capistran, et saint Jean-Baptiste, qui ont contribué à la popularité et à la pérennité de ce prénom à travers les siècles.
Étymologie
L'étymologie de Yanick remonte à l'hébreu, où il est composé des termes "yo" (Dieu) et "hânan" (miséricorde), formant ainsi "Dieu est miséricordieux". Cette origine hébraïque a traversé les siècles et les cultures, se transformant en Jean en latin, puis en Yanick en breton, une évolution qui témoigne de son adaptation aux langues et traditions locales.
